Pk 256,4 : Gare de Toulouse Matabiau (31)

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Et oui de toutes facons ya pas le choix

jb@+

Reste plus que la Kirow de Dijon...

Bonjour à vous tous .
Puisque l'on parle des grues de relevage de la SNCF , je vous met
deux photos prises au dépôt de Hendaye , ou on retrouve réunie
la grue de Toulouse et celle de Tours qui étaient venu porter main
forte pour un levage un peut spécial sur une CC 6500 ,qui avait eu
un petit problème de moteur .
Ici nous voyons celle de tours en jaune en train de se préparer
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Et sur celle ci , les deux grues en plaine action de levage :
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La Cockeril de Toulouse sous la neige :

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Les relevages de l'ancien temps.
Avec les méthodes modernes et les vérins hydrauliques, ces grues n'avaient plus de raison d'être, sans parler de leur technologie dépassée.

Mais elles avaient un charme certain et c'est dommage de celle Toulouse n'ait pas été gardée par ici en monument...
Un temps pressentie pour être préservée, elle avait été classée monument historique, mais au dernier moment, c'est celle de Dijon, identique, qui lui a été préférée car en meilleur état. Celle de Toulouse a donc fini ses jours à Culoz.

Bonsoir à tous !

Merci pour ces clichés ! Les grues ferroviaires sont trop peu misent en valeur. A priori, la Cockerill 85t de Toulouse n'a pas été ferraillé et se trouve toujours à Culoz. Pour ce qui est de la Industrial Works de 45t, il faudrait vérifier si elle n'a pas été mutée après à PSO. Si c'est le cas, elle existe toujours de nos jours sous un tas de ronces en Charente ...

Il est interressant de constater que sur la région SO, à Paris et Tours, les grues étaient en livrée majoritairement jaune ...

Bonne soirée à tous ...

@+,
Benj

Arrivée en gare de Toulouse d'une RGP en Provenance de Bordeaux

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:bravo:

Trois générations, deux modes de traction :

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Le 92202 attends la sortie du dépôt, la 141 R 1126 monte en pression pour le train du lendemain :

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:20-20:

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Bonjour à vous tous .
Voici quelques particularités pour mémoire de certain X 2100 .
Nous commençons par l'X 2250 .
Le seul à avoir une caisse en acier inoxydable .
Nous l'avons vu souvent à Bayonne sur des allers/retour sur St Jean Pied de Port .
Le voici quittant Bayonne pour St Jean Pied de Port .
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L'X 99201 , il a était le seul à arborer la Version Perroquet et quelques temps après une livrée bleu foncée et blanche .
Surpris à Bayonne un 4 Septembre 2010 au train 867326 arrivant de St Jean Pied de Port .
Le X 92201 va être remisé au T4 de la gare de Bayonne .
:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


L'autorail : X 92202 , fut prêté à la région Aquitaine , mais retourna à son dépôt d'attache (Toulouse) pour y être radié .

Quand au X 92203 , autorail à n'avoir arborer la version TLR et jaune lithos .
Le X 92203 en plaine ligne . ( Photo X ) .
:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Photo X .

Voila à ma connaissance ces quelques particularités .

Au milieu de machines Midi, ambiance année 70

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Au milieu de machines en livrée S-O bien sombres la 7122 illumine le gril Toulousain de sa belle livrée bicolore. Noter la caisse en version originale avec jupes de caisses complètes [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Photo Tosque Jean


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Bonsoir,
Merci ! Excellent document historique ! A cette époque, avant la livraison des 9200, ces machines étaient au sommet de leur prestigieuse carrière, avec des taux kilométriques mensuels en service, comparables à ce qu'abattront bien plus tard des 9200 ou 9300.

Leur esthétique était réussie, avait été primée par des instances industrielles, et par la suite, pour des simplifications liées à des facilités d'entretien, elles avaient perdu un peu de leur superbe.

Cette 7122, a été parmi les premières de cette série, équipées du KVB, (contrôle de vitesse par balises).et une des dernières réformées.

Le fils d'un de nos voisins, conducteur-électricien,à l'époque, l'aurait surnommée dans ces années 50, "la belle bleue" !

A bientôt!

Bonjour,
Allez, pour les nostalgiques, j'en remets une petite louche...
Ces 7100, lors de leur passage en "Grande révision générale", ou opération mi-vie RG+, avaient bénéficié de quelques améliorations techniques et de confort. Le poste de conduite avait évolué vers une disposition rappelant un peu les pupitres unifiés des engins plus modernes de l'époque.

Quant aux fameux couloirs latéraux, restés en mémoire de Néfalko, ils étaient séparés de l'équipement électrique 1500v par de lourdes grilles sur glissières, normalement et obligatoirement verrouillées en service. Or, dans leur version "sortie d'usine" illustrée par cette 7122, le fonctionnement des relais de protection, (relais de différentiel traction, de surintensité chauffage, etc..) était matérialisé par la rotation d'une palette, solidaire du relais, qui présentait alors une face rouge.
Bien qu'en principe interdite, la remise en position initiale de ce témoin se faisait à l'aide du manche du drapeau rouge de manoeuvres, qui se glissait fort opportunément entre les mailles de la grille; opération au demeurant sans réel danger.
Seul, le relais de surtension batterie dont le témoin rouge pouvait indiquer une grave avarie sur le circuit basse tension,(pouvant accidentellement être porté à 1500V), devait être réarmé à la main, pantos baissés et dispositifs de sécurité déverrouillé.
Après transformation, ces engins furent équipés d'un tableau électrique très fonctionnel, où la présence de disrupteurs indiquait les anomalies de fonctionnement.
Ces machines étaient robustes, et ne connaissaient pas un taux d'immobilisation très important. Je me souviens, qu' en traitement d'incidents, revenaient quelquefois, des avaries au dispositif de verrouillage du disjoncteur, des flashs au collecteur des moteurs de traction,et un coup de chaud sur un banc de résistances, lorsqu'elles furent employées intensément sur les marchandises.

Après toutes ces précisions, (les 7100 n'auront plus de secrets pour les lecteurs des trains du Midi !),sur ces machines qui furent à la base de nos études, en vue de l'accès à l'examen de conduite,fin années 60, début 70.
A bientôt !