OUIBUS: destinations ski au départ de Toulouse

Bonsoir à tous.
A partir du 23 décembre OUIBUS ouvre 3 lignes hivernales:
- Toulouse - Ax les Thermes.
- Toulouse - St Lary.
- Toulouse - La Mongie.
LN/JCP.

Il faudrait aussi un Toulouse Pas de la Case. On ressusciterait le train du Jaune version Bus ! (Mais cela existe déjà, des norias de cars en fin de semaine pour quelque pastis). Pour les skieurs c'est déjà bien fourni...
Ouibus va casser les prix du TER et le forfait Ski-Rail ? C'est probable... (A partir de 9 et 12 euros et 2h00 de trajet). On mettra une huitaine de cars et le tour sera joué. Donc, fin inéluctable des trains de skieurs... Et bientôt peut-être le summum : Paris Bercy Ax-les-Thermes by night au prix d'une omelette au jambon...
Vous savez quoi ? "Assises du Rail", pollution, transition énergétique... DU PIPO !!!!
Excellente nuit !

Un Ouibus Toulouse - Lyon via Mende sur les traces du Locorama roulera t-il un jour?

Montplaisir a écrit:Un Ouibus Toulouse - Lyon via Mende sur les traces du Locorama roulera t-il un jour?

Liaison en cours d'instruction auprès de l'ARAFER

Le service déclaré par la société Eurolines s’inscrirait dans le cadre de l’exploitation d’une ligne de
longue distance Toulouse – Gaillac – Albi – Rodez – Mende – Le-Puy-en-Velay – Saint-Etienne –
Lyon. Par conséquent, la capacité offerte dans les cars affectés à l’exploitation de ce service
pourrait être utilisée en partie pour des déplacements dépassant la seule liaison déclarée entre
Albi et Toulouse, même s’il convient de rappeler, sur ce point, que la société Eurolines peut
librement décider de modifier le service proposé en amont et en aval de cette liaison, toutes
choses égales par ailleurs, sans être obligée de déposer une nouvelle déclaration auprès de
l’Autorité.

Un OUIBUS à toit panoramique ? Avec animation à bord ? Via Langogne - Le Puy ?
Mais attention, la réglementation appliquée sur le Locorama Carama sera stricte sinon attention à la Mende...

L'ère des Macronbus (Ouibus et qu'on sort consorts) un Puy sans fond ou sans fonds? S'en font-ils du sort du CF?

X2100 a écrit:

Liaison en cours d'instruction auprès de l'ARAFER

Le service déclaré par la société Eurolines s’inscrirait dans le cadre de l’exploitation d’une ligne de
longue distance Toulouse – Gaillac – Albi – Rodez – Mende – Le-Puy-en-Velay – Saint-Etienne –
Lyon. Par conséquent, la capacité offerte dans les cars affectés à l’exploitation de ce service
pourrait être utilisée en partie pour des déplacements dépassant la seule liaison déclarée entre
Albi et Toulouse, même s’il convient de rappeler, sur ce point, que la société Eurolines peut
librement décider de modifier le service proposé en amont et en aval de cette liaison, toutes
choses égales par ailleurs, sans être obligée de déposer une nouvelle déclaration auprès de
l’Autorité.

En sortant une connerie, elle s'avérait réelle!

J'ai pensais tout comme toi que ce serait ironique, mais apparemment non...   A quand un Capitole Ouibus? (pas une simple liaison Paris-Toulouse, une liaison à 200 km/h! Le bus le pourra-t-il? )

Toulouse - Foix et retour 2 x par semaine par EUROLINES validé par ARAFER. La région Oc. déboutée, pas de concurrence significative.
La liaison sera inscrite dans le prolongement d'une ligne de et vers Paris !
Toulouse - Gaillac et Albi en cours d'étude...
Pôôôvre CFrance !

Ouibus c'est fini...
Sncf vient de vendre ce puits sans fond à BlaBlaCar

Merci P--Y !
De l'argent parti en pots d'échappements...
Contribuables trinquez !

https://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/0600130631968-blablacar-rachete-ouibus-a-la-sncf-2221064.php


1 La SNCF invente un truc pour s'auto-concurrencer ses trains...
2 On est en pure perte mais qu'importe
3 Quand on a gagné cette clientèle prise au train, on la donne sur un plateau à un concurrent...
Va comprendre, Charles, quelqu'un va-t-y demander des comptes à ces décideurs ?

Un mélange de dumping et d'autodestruction, les excès du capitalisme sauvage dans toute sa splendeur...
Je crains que le Ouigo ait le même effet vis à vis du TGV, en servant à la fois de prétexte à court terme la contraction et à la hausse du coût des dessertes TGV (devenues "Inoui") tout en sabotant le marché pour d'éventuels concurrents.