Les TGV POP! Une musique d'avance!

Bonjour à tous!

Quelle merveilleuse idée! On vote pour savoir si le train part (même si on le prend pas!, na!). Je me demande, plus sérieusement, comment on organise cela. Prenons le TGV Pop Paris-Bordeaux du 06 juillet matin. Y'a t-il un sillon demandé à... à Rff? Y a t-il déjà du personnel mobilisé (au cas ou?). Vu la souplesse de Rff et de la Sncf avec les trains existant dans les fiches horaires et la réactivité de ces deux entités en cas de situation perturbée, on peut se poser beaucoup de questions. En particulier sur le coup réel d'un train. On supprime des intercités de nuit dont le prix des places est élevé et on va nous faire croire que les prix Tgv Pop ne seraient pas adaptables aux Intercités... Curieux...

Je crois qu'il y a un effet sondage de marché réel à pris discount là-dedans, en plus de faire maintenant ce que Uber POP pourrait faire demain... Voire, ce dernier pourrait sommer ses sympathiques auto-entrepreneurs de "liker" ces trains et de devenir pour que dalle exploitant ferroviaire.
Sur Paris - Bordeaux, il y a déjà Intercités éco en exploitation, le problème des ICs nuits, c'est les rames à l'intérieur d'origine suranné. Si la DB a quelques "natchzungs" potables en trop dorénavant...

Bonjour à tous

Cette stratégie marketing me semble peu évidente, difficile de s'y retrouver entre les TGV normaux, les ID TGV, Intercités Eco, Ouigo, surtout pour celui qui ne regarde pas les conditions d'échange / annulation / remboursement en cas de retard... Et l'accent mis plus que jamais sur les termes "low cost" et autres est révélateur de notre époque, le temps de la vitesse à tout prix est bien loin...

D'après ce que j'ai lu sur un autre forum, ces relations "TGV POP" seraient en fait des trains assurés en UM dans un sillon déjà existant et dont le coût reposerait sur la première rame, maintenue à tarification normale, la seconde n'étant ajoutée que si la demande est suffisante. Ce "vote" des voyageurs permettrait donc d'éviter de faire rouler une rame insuffisamment remplie pour atteindre le seuil de rentabilité.

En poussant encore plus loin ce raisonnement, vu que le "low cost" est vraiment tendance d'après une partie de la presse, contrairement à la vitesse, on reviendra aux bonnes vieilles rames tractées, au nombre de voitures ajusté à l'unité en fonction de la demande.