La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
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La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
J'ai aussi retrouvé cette petite antenne traitée dans la vie du rail (il y a 35 ans...) ...
Article de la Vie du Rail au début des années 1980 par B. Collardey
La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre - Situation et activités
L'origine de cette antenne se situe en réalité à la bifurcation d'Ampèrevielle, à 3 600 m de la gare de Tarbes.
Elle est donc d'abord en tronc commun avec la transversale à double voie Toulouse-Bayonne.
Au-delà, où elle a été construite à voie unique, avec kilométrage ayant pour origine Bordeaux, elle se dirige vers le sud-sud-est en restant sur la rive droite de la vallée de l'Adour.
A Bagnères, gare en cul-de-sac, distante de 18 km d'Ampèrevielle, elle bute contre le massif pyrénéen.
Son implantation est excellente dans la première moitié du parcours, avec plusieurs grands alignements. Dans la seconde partie, les courbes ont été tracées le plus souvent avec de grands rayons.
Quant à son profil en long, il se présente sous forme d'un plan incliné régulier orienté vers le sud, avec déclivités maximales de 15 °/oo.
Ne comptant aucun tunnel, ni grand pont, elle a été conçue à l'origine avec cinq haltes et deux gares de croisement :Bernac-Debat et Montgaillard.
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Légende (sous réserve car déchirée) : Arrivée de l'omnibus de Bagnères en gare de Tarbes.
Dès 1914, la compagnie du Midi, à laquelle elle appartenait, l'a équipée, comme sa voisine Lourdes-Pierrefitte, d'une caténaire expérimentale 12 000 V-
16 2/3 Hz.
Des automotrices ont alors remplacé la traction vapeur. Huit ans plus tard, le système d'alimentations a été transformé, dans le cadre de l'adoption du 1 500 V continu au-plan national, avec une sous-station de traction munie de commutatrices à Bagnères.
On utilisa alors des automotrices 12 000 V transformées (Z 23051/23063) ou Z 23001/23015 tractant des voitures à voyageurs à essieux, voire des fourgons automoteurs Z 23200 et éventuellement des machines de ligne BB E 4000.
La desserte de base était alors assurée par huit à dix aller et retour omnibus Tarbes-Bagnères en 40 minutes environ.
L'été, le service était renforcé par trois couples d'express, semi directs ou directs sur le parcours, à raison de deux Bordeaux-Bagnères et un Paris-Bagnères via Dax-Pau
En plus, un mouvement marchandises circulait en semaine dans chaque sens.
Avec la nationalisation, cette artère, dépourvue de signalisation et sur laquelle le cantonnement téléphonique servait à l'espacement des trains, a été intégrée à l'arrondissement de Tarbes de la région Sud-Ouest.
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Légende : (toujours sous réserve) - la gare de Bagnères de Bigorre dans les années trente.
Sérieusement réduit pendant la guerre, le service voyageurs retrouva une consistance correcte au début des années 1950, la fréquence étant néanmoins plus faible qu'au temps du PO-Midi.
Cinq aller-retour, dont l'un sous forme d'un marchandises-voyageurs, étaient ainsi prévus à longueur d'année, en correspondance à Tarbes vers Toulouse, Bayonne, Bordeaux, Paris et Mont-de-Marsan.
En été, où la cité thermale de Bagnères, fréquentée par les rhumatisants, s'ouvre au tourisme et permet d'accéder aux cols d'Aspin et du Tourmalet, la trame était étoffée avec une paire de circulations supplémentaires et un express acheminant la rame Paris-Bagnères, incorporée au rapide « Pyrénées Express » jusqu'à Tarbes et remorquée ensuite par BB4600, 4700 ou CC7100.
Compte tenu de l'armement léger, constitué de rails DC Midi d'Ampèrevielle au terminus, la vitesse limite de tous les trains était, à cette époque, fixée à 60 km/h dans le sens nord-sud, 70 km/h en sens inverse.
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La concurrence s'exerça alors sur deux fronts : motorisation individuelle et courses d'autocars parallèles au départ de Tarbes et continuant vers les stations d'altitude, réduisant petit à petit la fréquentation des trains.
Le service ferroviaire voyageurs fut ainsi supprimé sur Tarbes-Bagnères le 27 septembre 1970, provoquant la suppression des omnibus : assurés en dernier lieu par des automotrices Z 4400 et 4100.
Des autocars affrétés prennent alors le relais.
Toutefois, l'été suivant, la rame directe a continué de circuler de Paris à Bagnères, à titre exceptionnel.
Par la suite, le trafic marchandises étant insignifiant à Bernac-Debat, Montgaillard et peu élevé à Bagnères, la caténaire a été déposée à partir d'Ampèrevielle, par souci d'économie, et le matériel de la sous-station de Bagnères récupéré.
Tandis que les voies d'évitement et de débords des deux gares intermédiaires précitées étaient également mises hors service, la traction a été confiée vers 1972 à des locomotives diesel BB 63500 pour l'unique train de marchandises, prévu du lundi au vendredi, sans autre arrêt qu'à Ampèrevelle où la bifurcation s'assortit de l'arrêt général de et vers la voie unique.
La section Ampèrevelle-Bagnères, gérée par la région de Toulouse, est exploitée aux moindres frais depuis mai 1978, la signalisation simplifiée ayant été remplacée par le régime « Trafic restreint ». Il n'est prévu qu'une circulation marchandises en matinée es lundis, mercredis, vendredis, de Tarbes à Bagnères, avec locotracteur Y7400 admettant une charge de 100 t à l'aller, 200 t au retour.
Ce système suffit pour acheminer les wagons de matériel pour l'embranchement Soulé construisant des véhicules ferroviaires, ainsi que des wagons d'eaux minérales et bières pour les négociants locaux.
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Légende (perdue aussi) : La gare de Bagnères, après la dépose de la caténaire.
Au départ de Bagnères, il est expédié régulièrement du bois pour Labruguière (Tarn) et les marchandises roulantes remises par la société Soulé, sous couvert de l'étiquette « Transports exceptionnels » (voitures postales pour les PU, matériel roulant et autorails pour les réseaux africains notamment,acheminés via Bordeaux).
Chaque année, le trafic de Bagnères ne dépasse guère 10 000 t aux arrivages et expéditions.
La gare d'Ampèrevielle, qui reçoit notamment des hydrocarbures, est rattachée commercialement à Tarbes.
Côté voyageurs, cinq services d'autocars dans chaque sens, sept l'été pour tenir compte de l'afflux des curistes et touristes, relient Tarbes à Bagnères en 35 minutes, avec desserte des anciens points d'arrêt ferroviaires.
L'hiver, une liaison supplémentaire directe Tarbes-Bagnères-La Mongie est mise en marche pendant la haute saison pour les skieurs ayant choisi ce lieu de villégiature dont les pentes sont établies sur les flancs du pic du Midi de Bigorre.
Bernard COLLARDEY
Article de la Vie du Rail au début des années 1980 par B. Collardey
La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre - Situation et activités
L'origine de cette antenne se situe en réalité à la bifurcation d'Ampèrevielle, à 3 600 m de la gare de Tarbes.
Elle est donc d'abord en tronc commun avec la transversale à double voie Toulouse-Bayonne.
Au-delà, où elle a été construite à voie unique, avec kilométrage ayant pour origine Bordeaux, elle se dirige vers le sud-sud-est en restant sur la rive droite de la vallée de l'Adour.
A Bagnères, gare en cul-de-sac, distante de 18 km d'Ampèrevielle, elle bute contre le massif pyrénéen.
Son implantation est excellente dans la première moitié du parcours, avec plusieurs grands alignements. Dans la seconde partie, les courbes ont été tracées le plus souvent avec de grands rayons.
Quant à son profil en long, il se présente sous forme d'un plan incliné régulier orienté vers le sud, avec déclivités maximales de 15 °/oo.
Ne comptant aucun tunnel, ni grand pont, elle a été conçue à l'origine avec cinq haltes et deux gares de croisement :Bernac-Debat et Montgaillard.
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Légende (sous réserve car déchirée) : Arrivée de l'omnibus de Bagnères en gare de Tarbes.
Dès 1914, la compagnie du Midi, à laquelle elle appartenait, l'a équipée, comme sa voisine Lourdes-Pierrefitte, d'une caténaire expérimentale 12 000 V-
16 2/3 Hz.
Des automotrices ont alors remplacé la traction vapeur. Huit ans plus tard, le système d'alimentations a été transformé, dans le cadre de l'adoption du 1 500 V continu au-plan national, avec une sous-station de traction munie de commutatrices à Bagnères.
On utilisa alors des automotrices 12 000 V transformées (Z 23051/23063) ou Z 23001/23015 tractant des voitures à voyageurs à essieux, voire des fourgons automoteurs Z 23200 et éventuellement des machines de ligne BB E 4000.
La desserte de base était alors assurée par huit à dix aller et retour omnibus Tarbes-Bagnères en 40 minutes environ.
L'été, le service était renforcé par trois couples d'express, semi directs ou directs sur le parcours, à raison de deux Bordeaux-Bagnères et un Paris-Bagnères via Dax-Pau
En plus, un mouvement marchandises circulait en semaine dans chaque sens.
Avec la nationalisation, cette artère, dépourvue de signalisation et sur laquelle le cantonnement téléphonique servait à l'espacement des trains, a été intégrée à l'arrondissement de Tarbes de la région Sud-Ouest.
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Légende : (toujours sous réserve) - la gare de Bagnères de Bigorre dans les années trente.
Sérieusement réduit pendant la guerre, le service voyageurs retrouva une consistance correcte au début des années 1950, la fréquence étant néanmoins plus faible qu'au temps du PO-Midi.
Cinq aller-retour, dont l'un sous forme d'un marchandises-voyageurs, étaient ainsi prévus à longueur d'année, en correspondance à Tarbes vers Toulouse, Bayonne, Bordeaux, Paris et Mont-de-Marsan.
En été, où la cité thermale de Bagnères, fréquentée par les rhumatisants, s'ouvre au tourisme et permet d'accéder aux cols d'Aspin et du Tourmalet, la trame était étoffée avec une paire de circulations supplémentaires et un express acheminant la rame Paris-Bagnères, incorporée au rapide « Pyrénées Express » jusqu'à Tarbes et remorquée ensuite par BB4600, 4700 ou CC7100.
Compte tenu de l'armement léger, constitué de rails DC Midi d'Ampèrevielle au terminus, la vitesse limite de tous les trains était, à cette époque, fixée à 60 km/h dans le sens nord-sud, 70 km/h en sens inverse.
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La concurrence s'exerça alors sur deux fronts : motorisation individuelle et courses d'autocars parallèles au départ de Tarbes et continuant vers les stations d'altitude, réduisant petit à petit la fréquentation des trains.
Le service ferroviaire voyageurs fut ainsi supprimé sur Tarbes-Bagnères le 27 septembre 1970, provoquant la suppression des omnibus : assurés en dernier lieu par des automotrices Z 4400 et 4100.
Des autocars affrétés prennent alors le relais.
Toutefois, l'été suivant, la rame directe a continué de circuler de Paris à Bagnères, à titre exceptionnel.
Par la suite, le trafic marchandises étant insignifiant à Bernac-Debat, Montgaillard et peu élevé à Bagnères, la caténaire a été déposée à partir d'Ampèrevielle, par souci d'économie, et le matériel de la sous-station de Bagnères récupéré.
Tandis que les voies d'évitement et de débords des deux gares intermédiaires précitées étaient également mises hors service, la traction a été confiée vers 1972 à des locomotives diesel BB 63500 pour l'unique train de marchandises, prévu du lundi au vendredi, sans autre arrêt qu'à Ampèrevelle où la bifurcation s'assortit de l'arrêt général de et vers la voie unique.
La section Ampèrevelle-Bagnères, gérée par la région de Toulouse, est exploitée aux moindres frais depuis mai 1978, la signalisation simplifiée ayant été remplacée par le régime « Trafic restreint ». Il n'est prévu qu'une circulation marchandises en matinée es lundis, mercredis, vendredis, de Tarbes à Bagnères, avec locotracteur Y7400 admettant une charge de 100 t à l'aller, 200 t au retour.
Ce système suffit pour acheminer les wagons de matériel pour l'embranchement Soulé construisant des véhicules ferroviaires, ainsi que des wagons d'eaux minérales et bières pour les négociants locaux.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Légende (perdue aussi) : La gare de Bagnères, après la dépose de la caténaire.
Au départ de Bagnères, il est expédié régulièrement du bois pour Labruguière (Tarn) et les marchandises roulantes remises par la société Soulé, sous couvert de l'étiquette « Transports exceptionnels » (voitures postales pour les PU, matériel roulant et autorails pour les réseaux africains notamment,acheminés via Bordeaux).
Chaque année, le trafic de Bagnères ne dépasse guère 10 000 t aux arrivages et expéditions.
La gare d'Ampèrevielle, qui reçoit notamment des hydrocarbures, est rattachée commercialement à Tarbes.
Côté voyageurs, cinq services d'autocars dans chaque sens, sept l'été pour tenir compte de l'afflux des curistes et touristes, relient Tarbes à Bagnères en 35 minutes, avec desserte des anciens points d'arrêt ferroviaires.
L'hiver, une liaison supplémentaire directe Tarbes-Bagnères-La Mongie est mise en marche pendant la haute saison pour les skieurs ayant choisi ce lieu de villégiature dont les pentes sont établies sur les flancs du pic du Midi de Bigorre.
Bernard COLLARDEY
Dernière édition par Fabrice le 2014-10-09, 23:43, édité 1 fois
Fabrice- Expéditor Elite
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Nombre de messages : 2885
Age : 60
Localisation : Bayonne
Date d'inscription : 29/01/2012
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Pauvre ligne...
Quel dommage ...
A remarquer quand même la caténaire du tram dans la cour de la gare en 1930.
et aussi ce fourgon à quai après la fermeture...
et des CC7100 sur la ligne : pauvres rails ...
Bonne lecture
Quel dommage ...
A remarquer quand même la caténaire du tram dans la cour de la gare en 1930.
et aussi ce fourgon à quai après la fermeture...
et des CC7100 sur la ligne : pauvres rails ...
Bonne lecture
Fabrice- Expéditor Elite
-
Nombre de messages : 2885
Age : 60
Localisation : Bayonne
Date d'inscription : 29/01/2012
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Il y a quelque chose de curieux : s'agit-il d'un fourgon à trois essieux ??
Olimac- Record bleu
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Nombre de messages : 5349
Localisation : dans le Sud Express 313
Date d'inscription : 15/11/2006
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Non non, deux essieux.
(essieux ou boggies mais 2 en tout cas)
(essieux ou boggies mais 2 en tout cas)
Invité- Invité
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Ça m'a tout l'air d'être un OCEM 30 à essieux
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Bonjour,
Vu le nombre de fenêtres et la structure de caisse moins bombée qu'un OCEM 30, je pencherai plutôt pour un Ex-PLM à 3 essieux. Mais que pourrait-il bien faire là?
Vu le nombre de fenêtres et la structure de caisse moins bombée qu'un OCEM 30, je pencherai plutôt pour un Ex-PLM à 3 essieux. Mais que pourrait-il bien faire là?
ALAIN PUENTE- Miniposteur
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Date d'inscription : 15/05/2008
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Ça me parait bizarre. On ne voit pas l'essieu central, et les couvres joints à 2 bandes de rivets me font quand même sérieusement penser à un OCEM 30.
cassaigneray- Posteur Mordu
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Nombre de messages : 1414
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Localisation : L'Union (31) + Cotonou (Bénin) + Saint Gaudens
Date d'inscription : 19/08/2010
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
J ai encore l article de LVDR de l epoque, encore une fois dommage qu avec cette structure ,la region ne fasse rien pour soulager le RD 935 des voitures , ce serais si pratique de créer une liaison Bagnere-Maubourguet via Tarbes..
autorail- Miniposteur
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Localisation : toulouse
Date d'inscription : 07/11/2009
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
je suis d'accord avec vous
Mais plutôt a-t-elle réellement la capacité de faire ça?
A-t-elle vu le potentiel ?
Tout simplement voit-elle un avenir au train?
Mais plutôt a-t-elle réellement la capacité de faire ça?
A-t-elle vu le potentiel ?
Tout simplement voit-elle un avenir au train?
pj222- Miniposteur
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Age : 42
Localisation : luquet 65
Date d'inscription : 26/05/2013
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Il y a eu une étude de faite de réouverture faite par Soulé / CFBagnères et traitée dans une LVDR...
Montplaisir- Record 150
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Age : 67
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 05/01/2007
ligne de Tarbes à Bagnère de Bigorre
Bonjour contrairement à ce que dit La Vie du rail les voitures directes de ou pour Paris n'ont pas été reconduites sur cette section de ligne. Elles ont par contre circulé entre Lourdes et Pierrefitte Nestalas au cours de l'été 71 puis en 1975 et 1976 à la demande du conseil Général qui a financé l'opération.
capitole67- Postamateur
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Nombre de messages : 399
Age : 74
Localisation : Montauban
Date d'inscription : 05/12/2011
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Ah, les schémas de lignes de Bernard Collardey, tout une époque ...
jlbcatala- Miniposteur
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Nombre de messages : 179
Age : 62
Localisation : perpignan
Date d'inscription : 24/05/2008
x 2834 aime ce message
Re: La ligne Tarbes-Bagnères de Bigorre dans la vie du Rail début des années 1980
Pour les autres articles de LVDR:
2803-A 27.06.01 4 Tarbes - Bagnères Une ligne en sursis
2803-A 27.06.01 4 Tarbes - Bagnères Une ligne en sursis
Montplaisir- Record 150
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Nombre de messages : 9839
Age : 67
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 05/01/2007
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