Pk 000.1 : Gare de Paris-Austerlitz (75)

Oui, vraiment de beaux témoignages d'une époque hélas révolue... Austerlitz est bien triste aujourd'hui, avec ses voies désertes et à moitié recouvertes par une dalle.

Bonjour,

@Olimac : Très bien passés. J'ai eu un 6/20 en Physique, matière séchée (8 si j'avais bossé comme un fou), que 16.5/20 en Maths compensait largement... et un beau 40° de fièvre après la semaine de partiels

@BB9210 : Oui, la gare d'Austerlitz est aussi sexy que la gare Montparnasse. A Montparnasse, au moins, y a des trains

Ne pas oublier l'amputation du centre de tri postal, côté Seine
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Laurent

Bonjour Laurent,

As-tu des images ou scènes de vie de ce centre de tri postal d'Austerlitz ?

En te remerciant d'avance,

P.-S. Bravo pour ton 16,5/20

Bonsoir,

Non et c'est fustrant, 25 ans après, d'être passé à côté de ça. Manque d'intérêt, horaires incompatibles, pas l'utilité de gâcher de la pellicule sur des sujets habituels ? Les trois à la fois, probablement.
J'ai de nombreux arrières-plans de sacs postaux, quelques allèges et centres postaux ambulants, dans leur intégralité et des détails.

Par exemple :
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(Mais pas de photo du fourgon OCEM à essieux au fond à droite)

Ou :
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Et ce W : BB-9200 + PEz + rame Grand Confort
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Tu as une superbe collection!!

Merci

La 8537 livrée verte en octobre 89
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Presque un an plus tard, du béton sans moustaches et numéro "lisible", dernière variante de la livrée béton
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Une série de machines qui assurait la remonte des rames, en remplacement des BB Midi vieillissantes.

La 37 a terminé sa carrière à la pousse des rames en Maurienne, transformée en 8737. Quant au triangle de la traverse de tête, déjà présent dans la livrée verte, à quoi sert-il ?

Bonne journée

Laurent

Bonjour,
Merci, et félicitations à Laurent pour ses photos anciennes de "Auster".
Pour ce qui est du petit triangle visible au dessus de la traverse de tête de la 8537, non seulement je n'en sais strictement rien, mais il ne me paraît pas correspondre à un rôle fonctionnel précis...? ? (Je ne sais "pas tout", non plus !).

Ayant fréquenté assidûment cette gare de fin 76, à mi-79, je me souviens très bien du centre de tri postal.
Au 4803, (ou 4003), nous allions, avec la 9200 titulaire, préalablement à la mise en tête y "cueillir" une ou deux voitures postale, qui étaient donc ajoutées à la rame voyageurs. (Vers Tarbes, et Irùn).

D'autres trains de nuit, bagages-postes partaient des voies extrêmes, coté Seine.

Sur mes agendas, j'ai retrouvé quelques compositions de ces trains indicés "BPJ", C140.

Sens impairs :
9/8/77, 4021, Paris-Tours : 9281 + 17 véh./457t.
Tours -Poitiers : 8570 + 14 véh./387t.
22/8/78, 4051, Paris-Tours : 8519 + 12véh./459t.
31/8/78, 4021, Paris-Tours : 9282,(livrée corail), +14véh./415t.
Tours-Poitiers : 8560 + 12véh./355t.
6/11/78, 4051, Paris-Tours : 9333 + 13véh./483t.

Sens pair :
25/11/76, 4020, Bordeaux-Poitiers : 5516 + 15véh./530t.
7/12/76 , 4020, Poitiers-Tours : 6517 + 18véh./616t.
4/12/77, 4020, Poitiers-Tours : 6513 + 19 véh./688t.
5/2/79, 4020, Tours-Paris : 25552,(des Aubrais), + 9véh./340t.

On remarquera que le 4021 a très longtemps, été au générique des 9200, couple 200, ex.Capitole,
Le 4020, à celui des 6500, entre Bordeaux et Tours,
Le 4051, à celui des 9300, à compter de 1978, entre Paris et Tours. Elles partaient ensuite directement au triage de St Pierre, pour descendre un messageries à Bordeaux.

Voilà une petite fenêtre historique, pour les amateurs de chiffres.

Coté Toulouse, il y avait le 4421, pas exclusivement postal, jusqu'à Limoges, puis par la suite un 4499, (??, numéro incertain), qui était, à partir de Brive, repris par des conducteurs de St Jory.

A bientôt !

(Re) Bonjour,

Caramel, mille exciuses : j'aurais dû t'associer aux félicitations et remerciements adressés à Laurent : Voici une injustice de réparée !

A bientôt !

Merci Moly de tes commentaires toujours instructifs! Les trains postaux mériteraient également un sujet spécifique si nous avions suffisamment de documentation! Appel non dissimulé aux contributeurs

Bonsoir,

Merci à Michel (Moly) pour ton intervention fort intéressante.

Et, de rien Alain

La photo que tu as postée a une caisse différente de la 37.

Il y a eu 4 "grandes" variantes de caisse

Les 8501 à 36, à caisse de 14,70 m et bas de caisse arrondi
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Les 8537 à 67, à caisse de 14,94 m et bas de caisse carré. (A l'intérieur de cette sous-série, y a des différences, dont les ouïes de ventilation latérales)
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Les 8568 à 87, à caisse de 14,94 m, bas de caisse carré, mais système de refroidissement obligeant l'air à passer par des chicanes au lieu de trous
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Et les dernières, 8588 à 8646 à caisse de 15,57 m, cf ta photo.

On retrouve ces 3 longueurs de caisse chez les 25500 (501 à 544, 545 à 587 et 588 à 644) et les 17000 (1 à 37 sauf 5, 38 à 105 et la 5 qui a été reconstruite sur un chassis de 15,57)

Mais la 8537 est la seule à présenter cette particularité.

Laurent

Bonsoir,

Encore une fois, remerciements pour ces compléments...précis et illustrés !

A Tosque, je répondrai qu'à l'époque de ces trains de bagages-postes dont j'ai relevé les compositions, les départs repoussés côté Seine se faisaient dans la plus stricte confidentialité.
Les quais étaient encombrés de chariots, les manutentionnaires étaient en grand nombre et fort actifs, si bien, qu'il était peu propice à l'amateur photographe, de venir se frayer un chemin dans ce secteur, du moins spontanément. Il y serait parvenu, certainement, mais l'endroit était très "espace messageries".
Raison pour laquelle, je n'ai jamais, sauf oubli, aperçu de photos de ces trains là.

Pourtant, le 4021, comme je l'avais indiqué, a longtemps été remorqué par une 9200 ex-"Capitole", restée rouge quelques années.

Curiosité, puisque nous sommes dans le sujet, ce train a conservé strictement, à la minute près, le même horaire, au moins, (peut être bien davantage), de 1965 à 1979.
Un collègue, ancien sur ce roulement en connaissait les heures de passage et d'arrêts par coeur !

Dernière précision, ces trains , selon les services annuels, laissaient un ou deux véhicules aux Aubrais, parfois Blois.
Entre les gares, ils roulaient de façon soutenue, et ne se traînaient pas particulièrement.

A bientôt !

Le 4020/4021 était très familier de mon paternel dans les années 80 sur le parcours BX-TSP ! Marche très tendue ! Ça devait être toute une époque et une ambiance !

Bonsoir,

Dis moi, Olimac, je l'ai peut-être connu, ou croisé, ton paternel ?

Dans les quelques années, où j' étais "opérationnel" sur ces trains, un bordelais montait le 4020 à Poitiers, puis repartait en 1/2 tour sur sa résidence, presqu'aussitôt sur un train de nuit descendant. (4819, ?, peut être).

Le roulement de Poitiers prévoyait 4020 Poitiers-Tours, puis rentrée de l'engin au dépôt de St Pierre, suivie de 4024 Paris.
Après son repos à Paris, le soir, le "Chabi" (Poitevin), prenait en charge le 4021 de Paris à Poitiers. Avec marche à pied à Tours, d'un bout à l'autre, suite à tête à queue. Je crois bien que c'était un Angoumois qui prenait la suite à Poitiers. (?).

Ton père a raison, ces trains ne trainaient pas en ligne, mais en même temps,"ils venaient bien", car de masse assez modérée.

Le 4051 appartenait au roulement de Poitiers, jusqu'à Tours, puis, nous relevions le 4359, mis en tête par une réserve, que nous descendions de Tours à Poitiers. (4359 : Le Paris-Bordeaux, via La Rochelle).

Aucun souvenir des autres affectations de ces trains de bagages.

Il est bon de préciser qu'il existait au delà de quelques tournées "classiques", et indéboulonnables, pas mal de variantes d'un service à l'autre. Si bien que dans les années 80, les roulements avaient déjà dû certainement pas mal évoluer.

A bientôt !

Bonjour à tous,
voici quelques photos prises le lundi 27 mai en gare de Paris Austerlitz.
Sont à quai les Intercités de Nuit pour Port Bout et Latour de Carol ainsi que ceux pour Toulouse et Rodez.
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Bonjour,

Un hommage aux 9300, très présentes à Austerlitz

La livrée d'origine :

Avril 85 : BB-9317
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Juillet 86 : BB-9326
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Septembre 90 : BB-9335
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Laurent

La livrée "Oullins", similaire à celle des 9200

Aout 86 : BB-9302 qui se mettait en tête d'un Talgo lors des pointes du soir (pas de photo de la rame, manque de recul)
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Janvier 1990 : Toujours la 9302
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Septembre 90 : BB-9325, côtoyant la BB-324
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Un petit coup de béton

Octobre 89 : BB-9304
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Avril 90 : BB-9307, avec le même schéma de décoration, mais avec un lot de peinture ayant mal vieilli et viré au rose (le néga aussi, a mal vieilli...)
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Octobre 89 : BB-9324, avec sigle SNCF fendu et autre type de moustache[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Laurent

Bonjour,

               Merci pour toutes ces vues de machines versées dorénavant dans l' "histoire". Et celles plus actuelles aussi, bien sûr !.

               Que oui ! Les 9300 étaient assidues à Austerlitz, aussi bien sur des trains vers Bordeaux et au delà, que vers Limoges et la Méditerranée.

               Lorsque tout le parc des 40 "9300" fut versé à Toulouse, je faisais partie de l'équipe de chefs-traction qui nous activions au poste "engins". (Années 1980/81).

               Parfois, mises à part celles qui étaient immobilisées pour entretien préventif, ou curatif, nous n'avions aucun engin de cette série sur le grill, et, le poste de commandement s'évertuait à les  rapatrier  au compte-gouttes pour couvrir le roulement.
               Je l'avais déjà évoqué sur ce forum, elles ont vraiment "tourné" sur les trains le plus lourds et les plus tendus du "Sud-Ouest", en remontant même jusqu'à Valence, Lyon, St Etienne, et Dijon, selon les services. (Sauf sur les V200 bien entendu).

               Quant à la nouvelle gare d'Austerlitz, je ne saurais trop vous conseiller de prendre un parapluie, ou un super K-way, pour accéder à votre train : Par forte pluie, il faut "slalomer", entre les multiples cascades de flotte qui inondent les quais sous la nouvelle dalle ! !

              A bientôt !

Merci pour ces photos et témoignages d'une époque hélas révolue.. J'étais hier à Austerlitz justement lors de la pointe du soir j'ai aperçu la BB 88501, toujours dans sa livrée du milieu des années 80, je m'imaginais ce que devait être le trafic à l'époque, avec les BB 9300, CC 6500 et les machines de manœuvre ex Midi, sans parler des voitures DEV Inox et Grand Confort.
Je partage l'avis de Moly quant à la "nouvelle" gare, déjà victime d'infiltrations. Je la trouve vraiment mal éclairée et vraiment pas hospitalière, sans parler du bruit (le X 72500 là dessous, ce ne doit pas être triste)... Le béton beige sauve les apparences (ça change du "tout gris" de Montparnasse), mais comment vieillira-t-il ?

Bonjour,

La couverture est partielle et il restera une bonne dizaine de voies "à l'air" pour les automoteurs, pas trop d'inquiétude. Quoique, "SNCF c'est possible" !

Une photo d'un engin (Y-6200 ou 6400) échappé d'un atelier, avec une double traverse de tamponnement pour le déplacement de caisse. Si quelqu'un a plus d'infos, je suis preneur

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Bonne journée

Laurent

Bonjour,

Merci pour toutes ces photos
Ce locotracteur vient peut-être des ateliers de Vitry. Je crois me souvenir qu'ils en possédaient 2 exemplaire plus ou moins identiques que Bernard Bransol avait reproduits en HO et décrits dans un ancien n° de Loco Revue.s

Merci pour la piste, Bruno.

Le même jour, vraisemblablement, la 22278.
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C'est une machine qui a été la première de la série à être autorisée à 200 km/h, en vue d'autoriser les 7200 et 22200 à cette vitesse. Une machine qui est sortie d'Oullins le 17/12/80, mutée de Marseille à Dijon et détachée à Paris-Sud-Ouest. Elle a été engagée en janvier 81 dans une campagne d'essai sur Paris-Bordeaux et Paris-Strasbourg en tête d'une rame UIC rouge ex-Capitole.

A partir du 16/02/1981, elle est engagée quotidiennement sur le Corail 163 "Montaigne" Paris-Austerlitz - Bordeaux, classé V200 et le TEE "Aquitaine" n° 2 au retour. Le vendredi, elle permutait aux 162 et n°1 pour cause de tonnage, dépassant la limite de 600 tonnes autorisée. Comme on le remarque, la machine est équipée de 2 pantos 1500V.

Elle est engagée dans le même roulement que les 7261 à 63.

Fin de l'expérimentation en décembre 1994 où elle échange ses boggies à 200 km/h contre ceux de la 358 (qui avait auparavant échangé ses boggies à V200 avec ceux des 7261 à 63).


Autre image de la 22278, lors des pointes du soir du 5 août 87, en tête d'un train pour La Rochelle
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Et pour finir avec le parc des 4400 kW autorisées à V200, la 7262[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Laurent

Bonjour,

Merci pour ces photos. Original une 22200 avec des archets larges. Est-ce pour lui permettre de se déplacer sous caténaire midi ?

Jean-Philippe

Merci de ces précisions sur les 22200 et 7200 V 200!

Bonjour ,

                Re-remerciements à Laurent pour cette nouvelle série.

                En ce qui concerne les archets, oui, certainement Jean Philippe.
                Le passage en ces années là, sur des voies à l'équipement ancien, (notamment sur certaines voies de service au désaxement caténaires très important), pouvait laisser craindre quelques incidents... Si bien qu'avec cette adaptation, on gommait tous les soucis de cet ordre là.


                Quant aux 7200, (et 22200),  sur des trains V200, mon expérience se limite à un Limoges-Paris. (Corail qui arrivait vers 23h30 à Austerlitz), héritier du "Capitole".
                Quand bien même ces engins, pouvaient développer des puissances supérieures aux 4400 Kw "catalogue", (comme me l'avait confirmé une équipe "essais" d'une des voitures "électrotechnique"), au delà de 180 km/h, il semblerait que l'accélération soit nettement moins  rapide, qu'avec une 6500. 


                Petit point de "détail", ces machines habituellement considérées comme confortables, et assez peu bruyantes, émettaient à 200 km/h un niveau sonore tout à fait inhabituel, pour un utilisateur limité 160 km/h. Idem, en ce qui concernait la stabilité mise à rude épreuve par des mouvements parasites nettement accentués par l'effet vitesse.
                Ces constatations, tout à fait normales, pouvaient d'ailleurs s'appliquer aux 6500.


                A bientôt !

Bonjour Laurent, bonjour à tous,

Je me fais rare sur le forum, mais je me régale en voyant tes photos. Superbes. La période 1985-1990 était la plus riche en diversité ferroviaire.

J'attends d'autres photos !

Amicalement,

Bonjour,

Pour changer, un peu de thermique. La gare d'Austerlitz était origine des trains vers Tours via Vendôme (était car la relation n'existe plus).

En 1985, les EAD règnent en maître
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De janvier 86 à avril 86, arrivent les X-2205 à 13 neufs qui vont chasser progressivement les EAD, en d'améliorant et le confort, et les horaires, les 2200 pouvant rouler à 140 contre 120.

En octobre 86, on pouvait voir les deux types d'engin

Le 2213 au départ vers Tours
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Une UM3 arrivant à Paris... (les joies de l'absence de passage souterrain à Austerlitz)
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