Gare Matabiau démolition des bâtiments

Une page se tourne avec la modernisation du quartier de la gare Matabiau avec la future venue des TGV , la démolition des bâtiments bat son plein avant le gros morceau de la Tour D'Argent ex direction régionale , le dépôt Toulousain lui aussi va subir le même sort au fil du temps libérant ainsi un vaste terrain.

Démolition des bâtiments a Matabiau les jours de la tour sont comptés .

Avant et. Maintenant plus ce CC et de bâtiment ex rotonde salle de réunion bien connue des diverses associations ferroviaires.

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jb@+

Je marque “j'aime” pour remercier des photos, surtout la première qui représente un aspect du coin et de l'époque que j'adore, et puis parce que ces outils simplistes d'appréciations ne permettent pas la nuance.

Sinon c'est une part de tristesse qui domine à voir la destruction de ces éléments et la disparition annoncée du dépôt de Périole. Sans doute une part logique de mélancolie, de constater le changement, souhaitable ou à déplorer selon les contextes, mais inexorable. Chose que l'on sait mais dont on peine forcément à réprimer les sentiments qui en découlent... bref, l'éternel combat entre raison et passion.
Tristesse donc car s'il faut bien-sûr les accueillir, composer avec et avancer, on ne sait jamais si ces changements vont être bénéfiques ou s'avérer des régressions. Et à vrai dire, en terme de chemin de fer, c'est souvent le deuxième cas de figure qui semble s'imposer.

Yohann a écrit:Je marque “j'aime” pour remercier des photos, surtout la première qui représente un aspect du coin et de l'époque que j'adore, et puis parce que ces outils simplistes d'appréciations ne permettent pas la nuance.

Sinon c'est une part de tristesse qui domine à voir la destruction de ces éléments et la disparition annoncée du dépôt de Périole. Sans doute une part logique de mélancolie, de constater le changement, souhaitable ou à déplorer selon les contextes, mais inexorable. Chose que l'on sait mais dont on peine forcément à réprimer les sentiments qui en découlent... bref, l'éternel combat entre raison et passion.
Tristesse donc car s'il faut bien-sûr les accueillir, composer avec et avancer, on ne sait jamais si ces changements vont être bénéfiques ou s'avérer des régressions. Et à vrai dire, en terme de chemin de fer, c'est souvent le deuxième cas de figure qui semble s'imposer.

Oui, je dirai la même chose, avec ces mêmes sentiments. Mais voila, rien n'est figé dans le temps. Matabiau est vraiment à l'étroit. J'ai beaucoup plus de peine, pour les disparitions définitives ex : fermetures de lignes. Ici, la vie suit son cours...

Il nous reste et restera d'inoubliables souvenirs dans ce lieu.

Jeune je passais le temps des correspondances à regarder Périole, dont à l'époque j'ignorais le nom.
Bien plus tard j'y étais un peu comme chez moi, et je l'ai fréquenté en long en large et en travers, glanant des images qui si elles sont nombreuses ne le sont pas assez. Le numérique est arrivé trop tard.

Une vue du bureau de la 1126 où nous montions des trains fantastiques avec Paul Larroque, le Téléthon, le cinquantenaire du festival de Cannes et tant d'autres de la belle époque de la machine.
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Place nette au futur. La tour d'Argent est en train de trembler...

Mon placard du vestiaire de mon bâtiment rasé s'en est allé aussi...
Des souvenirs rasés à la pelle mécanique...

Snif, gros Snif, je l'ai vu construire la Tour d'Argent.

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