Un accord BENIN?
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cassaigneray
Montplaisir
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Un accord BENIN?
En novembre dernier une signature pour une entente entre le NIGER et le BENIN pour construire une ligne entre Niamey et Cotonou! Un projet kolossal!
Montplaisir- Record 150
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Re: Un accord BENIN?
Il y a des lustres que ce projet existe. La liaison existe jusqu'à Parakou.
cassaigneray- Posteur Mordu
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Re: Un accord BENIN?
Pourrais-tu nous monter des photos?
Montplaisir- Record 150
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cassaigneray- Posteur Mordu
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Re: Un accord BENIN?
Une Alsthom!
Ca roule encore au Benin le CF?


Ca roule encore au Benin le CF?
Montplaisir- Record 150
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Re: Un accord BENIN?
Construit par les Français ce CF ?
Olimac- Record bleu
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Re: Un accord BENIN?
Oui, comme la plupart des CdF d'afrique subsaharienne... C'atait un projet Bénin - Niger qui s'est arrêté en cours de route! Comme d'ailleurs le Dakar - Bamako qui devait initialement pousser plus loin...
Invité- Invité
Re: Un accord BENIN?
Montplaisir : Oui ça roule encore (ou du moins jusqu'en 2001), date à laquelle j'ai quitté le Cotonou. L'OCBN (Organisation Commune Bénin Niger) est un chemin de fer qui doit relier Cotonou à Niamey. Le projet est toujours sur les rails si j'ose dire, mais les différents politiques compliquent les choses.
CC72084 : Le fret et les voyageurs circulent toujours sur cette ligne qui va jusqu'à Parakou. On trouvait des voitures SNCF, RATP pour les enseignes françaises, mais aussi des voitures des RhB (Chemins de fer rhétiques) et j'en passe. Disons que l'ensemble était assez bizarre et aucune homogénéité dans la rame.
J'ai eu l'occasion de le prendre et honnêtement, j'étais content de descendre.... aaaah l'Afrique noire....
CC72084 : Le fret et les voyageurs circulent toujours sur cette ligne qui va jusqu'à Parakou. On trouvait des voitures SNCF, RATP pour les enseignes françaises, mais aussi des voitures des RhB (Chemins de fer rhétiques) et j'en passe. Disons que l'ensemble était assez bizarre et aucune homogénéité dans la rame.
J'ai eu l'occasion de le prendre et honnêtement, j'étais content de descendre.... aaaah l'Afrique noire....
jeansdili- Miniposteur
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Re: Un accord BENIN?
@ jeansdili.
Il n'y a plus de service voyageurs (sauf un train touristique épisodique) sur l'OCBN depuis 2005, par manque de traction.
L'OCBN n'a jamais possédé des voitures ex SNCF, RATP ou RhB. Les rames sont homogènes avec uniquement des voitures OFERFOM (organisme de coopération des chemins de fer des anciennes colonies).Tu confonds avec le Dakar-Niger qui a des DEV et des Bruhat.
Récemment, l'OCBN a reçu 6 voitures construites aux Indes et espère relancer le service voyageur.
Il n'y a plus de service voyageurs (sauf un train touristique épisodique) sur l'OCBN depuis 2005, par manque de traction.
L'OCBN n'a jamais possédé des voitures ex SNCF, RATP ou RhB. Les rames sont homogènes avec uniquement des voitures OFERFOM (organisme de coopération des chemins de fer des anciennes colonies).Tu confonds avec le Dakar-Niger qui a des DEV et des Bruhat.
Récemment, l'OCBN a reçu 6 voitures construites aux Indes et espère relancer le service voyageur.
cassaigneray- Posteur Mordu
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Re: Un accord BENIN?
Nouvelles....
La ligne NIAMEY (Niger) - Parakou (Bénin) est en construction et la section Niamey - Dosso est posée (140km), la progression va vers le sud à Gaya à la frontière...
La ligne au final fera une boucle si tous les budgets sont...bouclés....
Lomé (Togo) - Cotonou (Benin) - Parakou - Niamey (Niger) - Kaya - Ouagadougou (Burkina) - Abidjan (Coted'Or d'Ivoire)... De plus au Togo projet entre Blitta et la ligne de la boucle du coté de Kaya.
La gare de Lomé refaite....
Que ce soit à Lomé ou à Niamey c'est le groupe Bolloré qui oeuvre avec la présence à chaucun de ces agre de 2 voitures suisses à bogies logotisées soit "Blue line Niger" ou "Blue line Togo"...
Evidemment tout est a voie métrique.
De plus une ligne Fret a été construite entre Lomé et la première ville du Ghana après la frontière ....
Une autre ligne Fret est prévue au nord du Burkina...
Voila les nouvelles affricaines de ce secteur cher à Raymond et c'est pas Bénin comme info!
La ligne NIAMEY (Niger) - Parakou (Bénin) est en construction et la section Niamey - Dosso est posée (140km), la progression va vers le sud à Gaya à la frontière...
La ligne au final fera une boucle si tous les budgets sont...bouclés....
Lomé (Togo) - Cotonou (Benin) - Parakou - Niamey (Niger) - Kaya - Ouagadougou (Burkina) - Abidjan (Cote
La gare de Lomé refaite....
Que ce soit à Lomé ou à Niamey c'est le groupe Bolloré qui oeuvre avec la présence à chaucun de ces agre de 2 voitures suisses à bogies logotisées soit "Blue line Niger" ou "Blue line Togo"...
Evidemment tout est a voie métrique.
De plus une ligne Fret a été construite entre Lomé et la première ville du Ghana après la frontière ....
Une autre ligne Fret est prévue au nord du Burkina...
Voila les nouvelles affricaines de ce secteur cher à Raymond et c'est pas Bénin comme info!

Montplaisir- Record 150
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Re: Un accord BENIN?
jeansdili a écrit:
J'ai eu l'occasion de le prendre et honnêtement, j'étais content de descendre.... aaaah l'Afrique noire....
Bonjour,
Oui, je comprends, au delà du "confort" vécu à bord d'un train, vivre en Afrique fait parti de ces expériences où l'indifférence n'existe pas.
Soit, le continent vous absorbe totalement avec ses qualités, et ses travers, soit c'est le rejet, et l'impossible adaptation.
Ayant quelque expérience en ce domaine, je dirai qu'ayant vu arriver sur le sol africain certains Européens qui découvrait l'Afrique, on savait au bout de quelques heures, (jours tout au plus), si ça marcherait, ou non.
Un collègue de Rennes qui était resté le minimum possible en coopération, et que j'avais revu à Montparnasse bien plus tard, m'avait avoué alors sa totale incompréhension vis à vis de ceux qui étaient restés d'assez longues années en brousse.
A bientôt !
MOLY- Posteur Persévérant
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Re: Un accord BENIN?
A Limoges, au foyer des contrôleurs (batiment blanc près de la gare
) séjournait dans les années 90 (voire 80?, je ne sais plus la décennie ...
) un cheminot de la SNCZ. Ca va zaïr!
à qui personne n'adressait la parole. Il était au fond du réfectoire le soir et il ne parlait pas. Je suis allé le voir pour discuter à son grand étonnement d'ailleurs... Il était en formation à Limoges au dépot / ateliers. J'avais beaucoup appris sur ce pays et son chemin de fer...
Un jour en controlant un gus en 1ère je suis tombé sur un africain de cote d'ivoire avec une carte de circulation marquée agent RAN. Pareil: discussion fort interessante, il était à Abidjan. Puis il y a eu la scission entre la Cote d'ivoire et le Burkina faso qui ne payait pas sa part pour la RAN d'où un "partage" avec création de nouvelles structures et coté ivoirien avec la SICF (Burkina = SCFB) entrainant la suppression de postes donc d'agents. Cadre, il fut aspiré par la tourmente... Ayant sympatisé j'avais été invité en CI par lui, mais je n'y suis pas allé, dommage... Puis les evenements locaux ont rompus les echanges de correspondance. Je ne sais pas ce qu'il est devenu...
Puis un copain est allé travailler à Madagascar pour reconstruire un pont sur le FCE (Fianantsoa - Manakara), toute une expedition...
Je suis allé en Tunisie sur la SNCFT où j'ai trouvé un esprit cheminot sans frontière dans les echanges entre collègues.
J'ai rencontré d'autres cheminots au gré de mes roulements...
Tels des cheminots de la SNTF ou un de l'ONCF ou d'ailleurs....
Celui de l'ONCF dans les années 80, un controleur qui était embeté avec son permis où il y avait marqué Calais - Paris - Cerbère alors qu'il voulait aller à St Pons depuis Paris voir son frère. C'était l'époque du 4515, donc une commodité pour aller jusqu'à Bédarieux couché!
Chaque fois ils étaient content de discuter. Bien sûr pour certains la langue restait un obstacle...



Un jour en controlant un gus en 1ère je suis tombé sur un africain de cote d'ivoire avec une carte de circulation marquée agent RAN. Pareil: discussion fort interessante, il était à Abidjan. Puis il y a eu la scission entre la Cote d'ivoire et le Burkina faso qui ne payait pas sa part pour la RAN d'où un "partage" avec création de nouvelles structures et coté ivoirien avec la SICF (Burkina = SCFB) entrainant la suppression de postes donc d'agents. Cadre, il fut aspiré par la tourmente... Ayant sympatisé j'avais été invité en CI par lui, mais je n'y suis pas allé, dommage... Puis les evenements locaux ont rompus les echanges de correspondance. Je ne sais pas ce qu'il est devenu...
Puis un copain est allé travailler à Madagascar pour reconstruire un pont sur le FCE (Fianantsoa - Manakara), toute une expedition...
Je suis allé en Tunisie sur la SNCFT où j'ai trouvé un esprit cheminot sans frontière dans les echanges entre collègues.
J'ai rencontré d'autres cheminots au gré de mes roulements...
Tels des cheminots de la SNTF ou un de l'ONCF ou d'ailleurs....
Celui de l'ONCF dans les années 80, un controleur qui était embeté avec son permis où il y avait marqué Calais - Paris - Cerbère alors qu'il voulait aller à St Pons depuis Paris voir son frère. C'était l'époque du 4515, donc une commodité pour aller jusqu'à Bédarieux couché!
Chaque fois ils étaient content de discuter. Bien sûr pour certains la langue restait un obstacle...
Montplaisir- Record 150
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Re: Un accord BENIN?
Une inauguration avec un locotracteur et la ligne n'est pas encore raccordée à Parakou. Il y a à construire un pont sur le Niger à Malanville, fleuve large comme la Gironde à Bordeaux. Mais c'est bien pour le début.
Au dépot de Cotonou (OCBN), j'étais connu et chaque fois, c'était des heures de palabres. Souvent finies autour une boisson de la Sobreba. Parfois j'errais à la régulation. Un jour, j'ai eu un petit entretien personnel avec le directeur du réseau (l'équivalent à G. Pépy) qui m'avait reçu dans son bureau.
J'ai eu l'occasion de visiter les dépots de Douala (RégieFerCam) et de Koumassi (GRC).
Point commun avec tous ces gens, quelque soit leur grade : la gentilesse.
Il est vrai, comme l'a souligné Moly, on est ou pas, "adapté" au continent.
Ray.
Au dépot de Cotonou (OCBN), j'étais connu et chaque fois, c'était des heures de palabres. Souvent finies autour une boisson de la Sobreba. Parfois j'errais à la régulation. Un jour, j'ai eu un petit entretien personnel avec le directeur du réseau (l'équivalent à G. Pépy) qui m'avait reçu dans son bureau.
J'ai eu l'occasion de visiter les dépots de Douala (RégieFerCam) et de Koumassi (GRC).
Point commun avec tous ces gens, quelque soit leur grade : la gentilesse.
Il est vrai, comme l'a souligné Moly, on est ou pas, "adapté" au continent.
Ray.
cassaigneray- Posteur Mordu
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Re: Un accord BENIN?
[quote="cassaigneray"]
Au dépot de Cotonou (OCBN), j'étais connu et chaque fois, c'était des heures de palabres. Souvent finies autour une boisson de la Sobreba. Parfois j'errais à la régulation. Un jour, j'ai eu un petit entretien personnel avec le directeur du réseau (l'équivalent à G. Pépy) qui m'avait reçu dans son bureau.
J'ai eu l'occasion de visiter les dépots de Douala (RégieFerCam) et de Koumassi (GRC).
Point commun avec tous ces gens, quelque soit leur grade : la gentillesse.
Bonjour,
Raymond qui est "Africain" de sol, et de coeur soulève un état de fait qui m'avait un peu surpris lorsque je travaillais en Afrique.
Il se trouvait effectivement des cadres de haut niveau au chemin de fer, voire ailleurs ministres, qui étaient restés d'une simplicité tout à fait agréable, et bien qu'ils soient très capables de marquer leur autorité, ne le faisaient pas sous les mêmes aspects de hiérarchie sociale que l'on observe "chez nous".
De plus dans les pays francophones, certains avaient suivi de longues études en France qu'ils connaissaient pour la plupart mieux que nous.. Le chef-traction que je "conseillais" au Gabon avait fait plusieurs années d'étude à Bâle, en Suisse.
Je me rappelle, vers le début de mon séjour, nous avions stoppé dans un village de brousse pour acheter des fruits, et, un "villageois", en pagne, torse nu, est venu s'associer aux transactions, et discuter très librement. ...tutoiement de rigueur... Bref, une fois "le marché" conclu, un collègue africain me demande si je connaissais bien le ministre des Armées ...? ? ..Oui, me dit il, c'était lui qui nous a aidé à charger les régimes de bananes dans le "pick-up" !
Quand ils revenaient "au village", ces dignitaires du Pays retrouvaient leurs racines, malgré des années passées dans les grandes écoles et universités Canadiennes, Françaises, etc...
J'avais un peu creusé la question, et il s'avérait que ces enfants de brousse étaient, selon les circonstances, éduqués par les "pères blancs" missionnaires, et que lorsqu'ils détectaient des capacités remarquables chez certains élèves, ils prenaient en charge, bourses à l'appui, leurs études jusqu'au niveau le plus élevé.
C'est ainsi que quelques chefs d'état, intellectuels africains, cadres supérieurs, étaient à l'origine des petits bambins qui courent partout dans les villages de brousse, comme nous les montrent les reportages, ou documentaires.
Il n'est pas exclu que ce type de promotion tout à fait remarquable, aujourd'hui, ait évolué.
A bientôt !
Au dépot de Cotonou (OCBN), j'étais connu et chaque fois, c'était des heures de palabres. Souvent finies autour une boisson de la Sobreba. Parfois j'errais à la régulation. Un jour, j'ai eu un petit entretien personnel avec le directeur du réseau (l'équivalent à G. Pépy) qui m'avait reçu dans son bureau.
J'ai eu l'occasion de visiter les dépots de Douala (RégieFerCam) et de Koumassi (GRC).
Point commun avec tous ces gens, quelque soit leur grade : la gentillesse.
Bonjour,
Raymond qui est "Africain" de sol, et de coeur soulève un état de fait qui m'avait un peu surpris lorsque je travaillais en Afrique.
Il se trouvait effectivement des cadres de haut niveau au chemin de fer, voire ailleurs ministres, qui étaient restés d'une simplicité tout à fait agréable, et bien qu'ils soient très capables de marquer leur autorité, ne le faisaient pas sous les mêmes aspects de hiérarchie sociale que l'on observe "chez nous".
De plus dans les pays francophones, certains avaient suivi de longues études en France qu'ils connaissaient pour la plupart mieux que nous.. Le chef-traction que je "conseillais" au Gabon avait fait plusieurs années d'étude à Bâle, en Suisse.
Je me rappelle, vers le début de mon séjour, nous avions stoppé dans un village de brousse pour acheter des fruits, et, un "villageois", en pagne, torse nu, est venu s'associer aux transactions, et discuter très librement. ...tutoiement de rigueur... Bref, une fois "le marché" conclu, un collègue africain me demande si je connaissais bien le ministre des Armées ...? ? ..Oui, me dit il, c'était lui qui nous a aidé à charger les régimes de bananes dans le "pick-up" !
Quand ils revenaient "au village", ces dignitaires du Pays retrouvaient leurs racines, malgré des années passées dans les grandes écoles et universités Canadiennes, Françaises, etc...
J'avais un peu creusé la question, et il s'avérait que ces enfants de brousse étaient, selon les circonstances, éduqués par les "pères blancs" missionnaires, et que lorsqu'ils détectaient des capacités remarquables chez certains élèves, ils prenaient en charge, bourses à l'appui, leurs études jusqu'au niveau le plus élevé.
C'est ainsi que quelques chefs d'état, intellectuels africains, cadres supérieurs, étaient à l'origine des petits bambins qui courent partout dans les villages de brousse, comme nous les montrent les reportages, ou documentaires.
Il n'est pas exclu que ce type de promotion tout à fait remarquable, aujourd'hui, ait évolué.
A bientôt !
MOLY- Posteur Persévérant
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Re: Un accord BENIN?
cassaigneray a écrit:Suite.
Désolé, mon correspondant n'a pas photographié le locotracteur rail-route.
Il a déja déraillé à la sortie de Niamey près du rond point pas loin de l'aéroport...
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Re: Un accord BENIN?
dur dur pour les suiveurs !!
jb@+

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